Nous avons pris ces deux séances pour faire des recherches de données : pourcentages, propositions de solutions...
Et aussi nous occuper de la mise en page du journal.
Nous avons fait les premières impressions avec l'imprimante riso afin d'avoir un aperçu du rendu des couleurs. Cette séance nous a servi à prendre en main l'imprimante riso. Mais aussi à mieux visualiser nos rendus
Suite à un entretien avec les professeurs nous avons décidé de modifier certains aspects de notre projet. Ainsi, nous avons abandonné l'idée des rôles pour les participants pour les laisser exprimer leurs propres opinions. Nous avons également modifié l'activité d'Alice, afin de nous recentrer sur la volonté de pousser au débat. Et enfin nous avons revu l'organisation globale de notre activité en introduisant un but final de convention citoyenne, l'objectif étant que les participants se rendent compte de la difficulté de prendre des décisions politiques au sujet de l'écologie.
Nous nous sommes occupés des impressions de nos différents supports : les journaux, les cartes de consommation, les pictogrammes et les cartes de proposition de solution.
Le lendemain, l'encre était sèche. Nous avons pu confectionner les journaux. Nous en avons fait une dizaine pour être sur d'en avoir assez.
Ce jour à servi à installer notre installation. Nous avons aussi eu le temps de faire tester nos ateliers par des personnes de la classe.
Nous avons mis en commun les trois projets que nous avons analysés. Nous avons parlé de quel sujet nous intéressait, vers quelle direction le projet allait prendre. C'est en parlant que nous avons créé les groupes de travail.
Toutes les trois, nous avons mis par écrit quelques définitions. Nous avons marqué ce que le sujet nous a évoqué, notre objectif.
Puis, chacune de notre côté nous avons réfléchi à nos ateliers respectifs. Comment chacune voyais son propre "jeu"
Nous avons mis nos trois ateliers en commun. Puis nous avons commencé à créer des liens entre eux.
Après l'entretien avec nos professeurs, nous avions à revoir nos ateliers. Deux remarques ont émergé : mieux qualifier l'impact de l'atelier global, qu'est ce que l'on veut faire apprendre à travers cette installation.
Mais aussi nous devions réfléchir en un grand atelier et non en trois distincts. Les liens entre les installations doivent être plus présents.
La tête reposée nous avons réfléchi aux problèmes de notre atelier. Nous avons changé, modifier quelques détails pour améliorer nos installations.
La dernière heure de la séance à servi au journal. Nous avons commencé à penser à cet élément de notre atelier. Nous avons commencé à y penser assez globalement sans trop de détails.
Cette séance nous a servi à collecter les données de nos différents ateliers. On peut voir un début de recherches graphiques, des questions idées pour chaque atelier.
Floriane Le Roux est une graphiste qui travaille beaucoup pour des associations, des entreprises qui accompagnent des structures sociales, solidaires, environnementales et culturelles. Elle est venue nous parler de son parcours et de deux projets qu'elle a géré du début à la fin. Floriane nous a aidé sur le visuel, l'identité visuel de nos ateliers.
Pour notre atelier, nous avons besoin d'imaginer trois personnages. Nous avons fait un grand tableau sur une feuille A3. Ce tableau nous sert à structurer, détailler nos personnages pour les rendre plus convaincants lors de notre atelier.
Pendant cette séance nous avons eu beaucoup de doutes. Nous avons échangé et modifié notre atelier. Voici la planche qui conclut notre discussion.
Voici quelques maquettes, recherches sur le journal.
L'imprimante riso n'a plus aucun secret pour nous.
Zoé a prit soin de nous pendant cette séance.
Nous avons du recommencer à plusieurs reprises, revoir les marges, les visuels...
Puis nous avons tout imprimé, et laissé secher pendant la nuit.
Après avoir fait les journaux, nous nous sommes penchés sur les flyers.
On peut voir la première version qui n'allait pas en visibilité. Nous avons réfléchi à un flyers plus lisible avec une impression riso pour qu'il soit en lien avec nos installations.

Voici la bonne version de notre flyers.
Un de nos outils principaux était le scotch. C'est un outil qui produit des visuels très simples. L'outil est parfait pour faire des pictogrammes.

Voici des expérimentations pour voir le rendu avec du scotch.
Il fallait réfléchir à des visuels simples et compréhensibles.
Nous n'avons pas pris de photos ce jour-là. Nous nous sommes occupés de l'installation. Nous avons testé plusieurs installations, utilisé différents éléments (tables, plateaux...). Nous nous sommes aussi occupés du blog, nous avons pris du retard.

Le grand jour est arrivé, nous avons testé nos ateliers avec trois groupes différents de première année.
Pendant la journée, nous nous sommes rendu compte de beaucoup de choses :
Notre atelier a énormément changé selon les groupes. Les groupes sont impactés par le temps. Des parties de l'atelier qui normalement devait être rapide prenait beaucoup de temps et inversement.
Certains groupes étaient presque autonomes, alors que pour d'autres il fallait presque donner notre avis, les pousser pour arriver à un rendu.
C'était difficile de savoir si on les guidait trop ou pas assez. Plusieurs fois, nous les avons influencés dans leurs choix. C'était difficile d'être neutre pendant les ateliers.
Le bilan dans le journal, qui était normalement un "bonus" à la fin des trois ateliers, était en fait important pour les participants. Ils prenaient du temps à le compléter, à coller des éléments. Le bilan devenait une vraie partie à l'atelier.

Après la journée, nous devions présenter une dernière fois notre atelier. En partageant nos remarques avec la classe et nos professeurs. Plusieurs remarques ont étaient partagées :
Les pictogrammes font un risographie et les cartes avec le scotch créent un décalage. Il n'y à pas de rapport visuels entre ces deux éléments.
Les cartes ont un problème : plusieurs cartes se ressemblent comme par exemple : la douche et le bain, ou encore la lampe et le plafonnier. Du coup les choix sont plus facile à faire.
Notre première référence est Twenty years of glass mountains qui est un objet éditorial imprimé en risographie. Ce qui nous a intéressé est le rendu : pouvoir superposer des éléments, créer des jeux de couleurs, de rythme. Mais aussi elle permet de jouer avec une esthétique simple, efficace ce qui était important pour notre atelier.
Notre deuxième référence est les visuels de Aakash Nihalani en scotch. Cet outil permet de faire des visuels rapidement, simple, qui se comprennent assez vite. On peut aussi s'amuser avec les différentes couleurs.